C’est à dire qu’ils sont au summum de la beauté.

Allah تعالى dit : (traduction rapprochée du sens du verset)

« À Allah appartiennent les noms les plus beaux »

[S.7 – V.180]

Et ce car ils intègrent des attributs parfaits qui ne connaissent absolument aucun défaut que ce soit, ni de manière effective ni de façon probable.

Un exemple de cela :

“ Le Vivant ” est un nom parmi les noms d’Allah تعالى , il contient la caractéristique de la vie parfaite qui n’est point précédée d’une inexistence ni sujette par la suite à la disparition. Il s’agit de la vie impliquant la perfection des attributs relatifs à la science, le pouvoir, l’audition, la vue et autres..

Un autre exemple : “ Al-‘Alîm ” ; Celui Qui sait tout, est l’un des noms d’Allah qui contient la caractéristique de la science parfaite qui n’est point précédée d’une ignorance ni sujette à l’oubli.

Allah تعالى dit : (Traduction rapprochée du sens du verset)

« La connaissance [de leurs oeuvres] est auprès de mon Seigneur inscrite dans un livre. Mon Seigneur ne commet ni erreur ni oubli. »

[S.20. – V.52]

La science vaste englobant toute chose, de manière générale et détaillée, qu’elle concerne Ses actes ou bien ceux de Sa création.

Allah تعالى dit : (Traduction rapprochée du sens du verset)

« C’est Lui qui détient les clefs de l’Inconnaissable. Nul autre que Lui ne les connaît. Et Il sait parfaitement ce qui est sur la terre ferme, comme en mer. Et pas une feuille ne tombe sans qu’Il ne le sache. Et il n’est pas une graine dans les ténèbres de la terre, rien de frais ou de sec, qui ne soit consigné dans un Livre explicite. »

[S.6 – V.59]

« Il n’y a point de bête sur terre dont la subsistance n’incombe à Allah. Il connaît son gîte et son dépôt, tout ceci est dans un Livre explicite. »

[S.11 – V.6]

« Il sait ce qui est dans les cieux et la terre et il sait ce que vous cachez et ce que vous divulguez. Et Allah est parfaitement connaisseur de ce que renferment les poitrines. »

[S.64 –V.4]

@Sabilalhaqq

Source : القواعد المثلى في صفات الله وأسمائه للشيخ محمد صالح العثيمين ص.٩